Qui sont les personnes influentes derrière Popay aujourd’hui ? Faisons connaissance avec Ward Bollens.

Qui sont les personnes influentes derrière Popay aujourd’hui ? Faisons connaissance avec Ward Bollens.
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Publié le

10 Juil 2025

Rencontrez Ward : la force discrète derrière la transformation RH de Popay.

Alors que le personnel RH a tendance à être moins à l’aise avec les aspects techniques, les équipes IT ont parfois du mal à expliquer clairement comment certains logiciels et technologies contribuent aux processus RH. Ward réunit ces deux mondes. Avec un parcours en RH et cinq années d’expérience chez Popay, il sait parfaitement expliquer aux clients, en langage clair, ce que nos systèmes et solutions peuvent leur apporter. Rencontre avec Ward !

Ward, qui es-tu et d’où viens-tu ?

« J’ai 30 ans, je suis né et j’ai grandi à Louvain. C’est aussi ici, à Louvain, que nous travaillons depuis le bureau belge de Popay. »

Pratique, proche de chez toi ! Comment es-tu arrivé chez Popay ?

« J’ai étudié les ressources humaines à Louvain. Ensuite, j’ai travaillé dans une agence d’intérim. Mais après un an et demi, j’ai réalisé que c’était un peu trop commercial pour moi. J’ai donc commencé à chercher autre chose, et l’annonce de Popay m’a tout de suite interpellé. »

Il était temps de changer. Qu’est-ce qui t’a séduit dans cette annonce ?

« Ils recherchaient un consultant fonctionnel capable de gérer des projets de A à Z. Cela permet de vraiment livrer quelque chose de concret au client. C’est cet aspect, combiné à la variété des missions, qui m’a plu. Aujourd’hui, je travaille dans l’équipe projet sur différents sujets : implémentation, intégration de la paie, support sur nos propres produits. C’est exactement ce que je cherchais : un poste varié, en mode projet, avec une vraie autonomie pour définir mon rôle. Et c’est aussi moins commercial. Bien sûr, je fais un peu de gestion de compte et j’ai des échanges avec les clients, mais ce sont des relations de confiance, centrées sur le transfert d’expertise et l’accompagnement. »

On dirait un bon match. À quoi ressemble ta journée de travail ?

« Aucune journée ne se ressemble. Cela dépend beaucoup des projets en cours. En général, je travaille depuis le bureau de Popay ou de chez moi, surtout quand je fais du travail de fond comme la configuration technique des logiciels pour permettre l’intégration de données. Pour les projets d’implémentation de nos propres solutions, je me rends plus souvent chez les clients pour participer à des réunions ou animer des ateliers. Je suis aussi impliqué dans le support pour résoudre les tickets des clients. »

Alternance bureau/télétravail, tu apprécies ?

« Oui, beaucoup. J’essaie de venir au bureau deux à trois fois par semaine. L’ambiance est super, j’ai des collègues formidables. On partage le même état d’esprit : work hard, play hard. Tous les vendredis, on prend un verre après le boulot, c’est chouette. Et j’aime la liberté qu’on a de choisir entre télétravail et bureau. Ça aide à garder un bon équilibre vie pro/vie perso. J’ai deux jeunes enfants, donc je peux les déposer à l’école le matin ou aller les chercher. Ensuite, je retravaille quelques heures le soir. »

Et pour toi, comment apportes-tu de la valeur aux clients ?

« En cinq ans chez Popay, j’ai accumulé une bonne expertise sur nos produits. On propose des modules pour les données RH de base, l’apprentissage, les fiches de paie, les contrats… Je partage cette expertise avec les clients. Grâce à mon background RH, je suis capable de vulgariser des notions techniques complexes, que ce soit sur les processus ou l’intégration de données. Par exemple, comment un fournisseur de paie doit-il recevoir les données ? J’essaie toujours d’orienter le client vers la solution la plus adaptée et la plus efficace. Mon objectif : permettre aux équipes RH de travailler plus efficacement, avec moins d’erreurs, un traitement de données correct, et un vrai gain de temps. »

Et pourquoi c’est si important aujourd’hui, selon toi ?

« Parce que tout le monde est débordé. Et pendant ce temps, le monde évolue et se digitalise. Il faut qu’on suive tous le mouvement. La qualité devient primordiale : qualité des données, qualité des processus. On gagne du temps en simplifiant les choses. De plus en plus d’entreprises comprennent que la digitalisation peut les aider. Ce n’est pas un frein, au contraire, ça facilite le travail. Et c’est crucial, vu la charge que tout le monde a à gérer. »

Belle ambition. Qu’est-ce qui te définit dans ton travail ?

« Ce qu’on me dit souvent, c’est que je suis quelqu’un qui aime aider. Que ce soit mes collègues ou les clients, je suis toujours prêt à partager mon savoir-faire pour faire avancer les choses. On peut dire que je suis dans le soutien. Et j’attache aussi beaucoup d’importance à la qualité : je ne livre jamais une solution partielle ou quelque chose qui ne fonctionne pas vraiment pour le client. »

Et quand ressens-tu de la satisfaction ?

« Quand on résout un problème complexe. Quand le client avait un souci, et qu’on trouve une manière de fonctionner qui convient à tout le monde. Quand il est satisfait, que le processus tourne bien, et que la solution est pérenne. Là, oui, je suis content, c’est très gratifiant. »

Le plus beau compliment qu’on t’ait fait ?

« Récemment, sur un projet de transmission de données depuis un système principal vers un prestataire de paie. À la fin du projet, une collaboratrice RH m’a dit qu’elle avait trouvé super que je sois capable d’expliquer clairement les aspects techniques du flux de données, dans un langage accessible. Elle a pu comprendre l’ensemble du processus, sans bagage technique. Ça lui a permis de vraiment saisir la complexité et de comprendre pourquoi certaines choses ne se passaient pas comme prévu. Elle a pu reprendre la main. C’était un beau compliment, surtout que je n’ai pas de formation en IT à la base. »

Absolument. Et toi, qu’est-ce qui te donne de l’énergie… et qu’est-ce que tu ne supportes pas ?

« Ce qui me booste, c’est quand on a résolu un problème complexe, et qu’une organisation peut enfin fonctionner efficacement. Ou que tout se passe comme prévu, que ce soit pour le client ou pour mes collègues. J’aime aussi travailler par projet : décomposer une mission en plusieurs étapes et atteindre un super résultat. Ce qui me frustre, c’est quand les gens ne travaillent pas de manière efficace ou quand aucune décision n’est prise. On tourne en rond, et là c’est compliqué. »

Et tes ambitions, tu les vois comment ?

« Continuer à développer mon expertise. On travaille sur tellement de choses différentes chez Popay, il y a toujours un nouveau défi, un nouveau projet, une nouvelle problématique complexe. Et moi, j’aime plonger dedans, creuser, apprendre, progresser. Mon ambition, c’est de m’améliorer chaque jour, dans mon job et de manière plus globale. »