Qui sont les personnes clés derrière Popay ? Aujourd’hui, faisons connaissance avec : Annelies van Erom.

Qui sont les personnes clés derrière Popay ? Aujourd’hui, faisons connaissance avec : Annelies van Erom.
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Publié le

10 Juil 2025

Annelies van Erom : transformer les défis RH en solutions durables

Pas de raccourcis ni de solutions temporaires avec cette experte Popay. Annelies ne jure que par des solutions durables, pensées pour alléger véritablement la charge de travail des clients. Ce n’est pas un hasard si les organisations reviennent en disant : « Avec vous, la magie opère. » Mais comment s’y prend-elle ? Elle nous livre ici des confidences uniques sur son quotidien professionnel.

Commençons par tes racines : d’où viens-tu ?

« Je suis originaire de Leopoldsburg, où je suis née et j’ai grandi. J’ai d’abord étudié le management de bureau dans le Limbourg, avant de suivre un programme complémentaire en gestion des ressources humaines à Louvain. Et depuis, je suis restée dans cette région. Aujourd’hui, je vis à Boutersem avec mon mari et ma petite fille de presque deux ans. C’est un cadre qui me convient très bien. »

Pratique, c’est tout près de Popay ! Comment as-tu rejoint l’entreprise ?

« Cela fait presque neuf ans maintenant, le temps passe vite. À l’époque, je travaillais comme consultante en recrutement et je cherchais un nouveau défi. Quelque chose de moins commercial et avec plus de contenu RH. J’ai alors vu une offre d’emploi chez Popay qui m’a tout de suite interpellée, notamment à cause du travail en mode projet et de l’aspect conseil. Le lien entre le côté humain des RH et la dimension technique de l’IT m’a aussi beaucoup plu. Je suis à l’aise avec la technologie, mais je ne savais pas encore à l’époque qu’on pouvait combiner tous ces aspects dans un seul et même poste. »

Un beau mélange ! Comment décrirais-tu ton rôle aujourd’hui ?

« Mon travail est extrêmement varié, difficile à étiqueter. Je travaille principalement sur des projets : cela va des analyses fonctionnelles à la configuration des outils RH, jusqu’à la gestion de projets. Cette diversité de rythme rend le tout stimulant et motivant. »

Et ton emploi du temps idéal, il ressemble à quoi ?

« J’aime être entourée de collègues ou de clients, donc je travaille très rarement à domicile. L’interaction sociale est importante pour moi. Cela me permet de rester au courant de ce que font les autres et de s’entraider efficacement. Lorsqu’on se voit en face à face, il est aussi plus facile de poser des questions. Je suis généralement au bureau trois jours par semaine, et chez les clients les deux autres. Je trouve que c’est un bon équilibre : c’est important que le client sente qu’on est vraiment présent. »

Tu travailles donc souvent chez les clients. Comment les accompagnes-tu au mieux ?

« En adoptant une vision globale, au-delà de la simple demande exprimée. On ne se contente pas d’analyser le problème : on examine aussi le processus dans son ensemble. Y a-t-il d’autres aspects à optimiser ? C’est souvent le cas. Et c’est ce que les clients apprécient énormément. En allant au-delà du cahier des charges, on construit une vraie relation de partenariat. »

Et comment fais-tu pour que les clients puissent ensuite autonomiser leurs équipes ?

« On ne se limite pas à l’outil RH : on prend aussi en compte l’aspect humain. Il ne suffit pas que le processus soit bien intégré dans l’outil, il faut aussi qu’il soit facile à utiliser pour les collaborateurs. On pense donc à l’accompagnement post-implémentation : documentation, ateliers, disponibilité pour les questions. Ce n’est jamais : « Voilà, c’est terminé, amusez-vous bien ! » Non, on reste disponibles et accessibles. On aime expliquer, ajuster, peaufiner. Cela permet aux équipes RH de réellement mieux faire leur travail, avec plus d’efficacité. »

Qu’est-ce qui, dans ton travail, est typiquement “Annelies” ? Quand ressens-tu de la satisfaction ?

« Les clients savent que je ne me limite pas à l’outil, mais que je m’intéresse à l’ensemble du processus. Je cherche toujours à apporter des solutions concrètes. Pour moi, le mot “non” n’existe pas. Je veux comprendre pourquoi une organisation fonctionne d’une certaine manière. En étant régulièrement sur le terrain, j’entends ce qu’il se passe et je vois ce qui peut être amélioré. Bien sûr, je suis satisfaite quand le client est heureux. Mais aussi lorsque les processus qu’on a mis en place sont vraiment utilisés et utiles : quand ils font gagner du temps, allègent la charge de travail, permettent de se recentrer sur d’autres priorités. »

Quel est le plus beau compliment que tu aies reçu d’un client ou collègue ?

« Justement, la semaine dernière, un client m’a fait un joli compliment. Il y avait un problème que d’autres avaient tenté de résoudre avant moi. Et ils m’ont dit : « Avec vous, la magie opère. » C’était très touchant. »

Quelle belle reconnaissance ! Et avec tes collègues, comment ça se passe ?

« Nous sommes vraiment là les uns pour les autres. On ne reste pas isolés sur nos projets respectifs : on collabore beaucoup entre équipes. Chacun a son domaine d’expertise, et on sait exactement vers qui se tourner en cas de question. Ce lien simple et direct, c’est très typique de notre équipe. Et je veux aussi que mes collègues sachent qu’ils peuvent compter sur moi. Quand je dis que je vais faire quelque chose, je le fais. »

C’est l’esprit d’équipe. Et toi, qu’est-ce qui te donne de l’énergie ? Et qu’est-ce qui te rebute ?

« Ce qui me donne le plus d’énergie, c’est de réussir, en équipe, à améliorer l’expérience client et alléger son quotidien. Résoudre un problème ensemble, partager les connaissances, chercher la solution idéale : c’est très stimulant. Ce que je ne supporte pas, ce sont les gens qui ne voient que des problèmes ou qui ne prennent pas leurs responsabilités. Et je suis allergique aux raccourcis. Même si un processus manuel ne prend que cinq minutes par semaine, je veux quand même trouver une solution structurelle, durable. »

Tu as déjà accompli de belles choses. Quels objectifs aimerais-tu encore atteindre ?

« J’aimerais pouvoir déployer notre vision de la transformation RH auprès de plus de clients. Je pense que de nombreuses entreprises en ont besoin, même si elles n’en ont pas encore conscience. Je veux aussi renforcer la position de Popay dans ce domaine. Et à titre personnel, j’aimerais mettre mon expérience au service de nos nouveaux collègues pour les accompagner au mieux. Popay grandit, et je trouve essentiel que chaque nouvelle recrue trouve sa place dans l’équipe. »

Une belle ambition. Un dernier mot pour conclure ?

« Popay est peut-être un employeur atypique. On travaille avec une petite équipe en Belgique, et on accorde une importance énorme au bien-être au travail. C’est ce qui m’a toujours plu. On travaille dur, mais on prend aussi le temps de souffler et de célébrer les réussites. Chaque vendredi après-midi, on termine la semaine autour d’un verre. Et les victoires, grandes ou petites, ne passent jamais inaperçues. »